Rencontre inattendue

Invité

Le 07/Mars /2010 à 20h

Je venais de sortir de mon appartement quand je me pris une douche extraordinaire, j'étais tellement dans les nuages que j'avais oublié qu'il y avait cette satané pluie torrentiels qui s'était abattu sur Tokyo, il y a de sa qu'elle que jours. Je me demande bien qui pouvait faire tomber cette pluie, un démon? Ou un ange? Alors je rentrais directement dans mon appartement, je pris une veste a capuche et je repartis. Je devais faire des course, mais courses était surtout pour acheter des trucs sucré, surtout du chocolat. Même si j'étais un ange je ne pouvais pas m'empêcher de mangé des trucs d'humain. Je courus vers le magasin du coin, toujours en courant je voulus pousser la porte de celui-ci mais elle ne s'ouvrit pas et donc je me pris la porte, je me retrouvais par terre sous la pluie et c'est à cette instant que je pensais « ici les égouts ne peuvent pas suivent le ridme de la pluie et sont bouché, ici qui est un endroit assez élevé, alors j'imaginais pas dans les rues plus basse ça dois être inondé . . . .Et l'orphelinat ! ! en plus que l'orphelinat est dans un quartier malfamé, personne ne pensera aller voir si les enfants vont bien. Bon ses décider je vais aller voir, s'il y a plus personne. »Je me relevais de par terre, je me dirigeais vers la rue Sumida plus précisément vers le quais. Arriver devant la rue je vis les dégât causer par la pluie, on ne pouvait pas faire une seule pat. . . fin pour une personne normale, moi en tout qu'a je n'étais pas une personne normale. Je regardais au toure de moi cherchant après des regards curieux, ne trouvant pas de regard, je m'envolais, je cherchais après l'orphelinat, c'était la première fois que je venais dans cette rue, je m'arrêtais deux minutes pour voir où j'étais et où je devais aller, je recommençais à avancer, je tournais la tête vers les maisons qui étaient la plupart remplient d'eau, mais aussi où l'on voyait commencé apparition des champignons. Je trouvais enfin l'orphelinat. Je poussais la porte qui tombas dans un gigantesque fracas, je regardais au toure de moi, cherchant après un mouvement qui pourrait m'indiquer qu'il y a quelqu'un, mais en bas il n'y avait rien, je me dirigeais vers l'étage supérieur, je pouvais marché maintenant, j'étais assez loin de l'eau.
-Il y a qu'elle qu'un?!
Aucune réponse donc j'ouvras une par une les portes mais ils n'y avait personnes. j'allais repartir quand j'entendis un bruit vers une porte que je n'avais même pas remarquer car elle était dans l'ombre. Je me dirigeais vers celle-ci, je prit la poignée de la porte en main et je la tournais, m'attendant avoir une petite ombre d'enfant, puis. . .

Angel † Taboo

J’étais fatigué, complètement anéanti, n’ayant pas fermé l’œil de la nuit… et pourtant je devais me lever. Pourquoi tout ça ? Parce qu’en plus du travail, Kanon et moi avions eu la merveilleuse idée de vouloir aider la population en gardant un enfant de l’orphelinat jusqu’à ce que l’établissement soit remis en état. Chose qui m’enchantait, mais… je devais bien avouer que ma petite fille était bien sage à côté de ce petit bout d’homme qui criait à tout va qu’il voulait son doudou. Tout ce tintouin pour une peluche, je pouvais bien comprendre, mais la fatigue m’avait gagné en plus des caprices de Takeru qui me rongeaient les tympans.

C’est résolu que nous avions promis d’aller lui chercher, à la condition qu’il essaie de dormir, sa peluche, en espérant qu’elle y soit encore sinon j’allais la lui fabriquer ! Ce matin là, nous étions partis tôt, juste après avoir mené le petit à l’école. Sumida était inondé et c’était l’une des rares fois ou nous pouvions exposer notre véritable force. Il en valait de la survie de nos enveloppes charnelles. Soit, nous voilà donc à chercher l’orphelinat, un établissement miteux qui me serrait le cœur lorsque je l’aperçus.

« Je crois que… c’est là. »

Instinctivement, je mis ma main sur la poigné et… surprise, je restais avec la porte complète entre les doigts. Gêné par mon manque de contrôle, je remis la porte en place, esquissant un sourire à la fois amusé et embarrassé à mon colocataire.

« C’est… ça devait être le coup de grâce je suppose… ma main sur la poignée. »

J’entrais en espérant ne croiser personne… rien qu’à penser qu’il y ait possibilité de retrouver des corps, j’en frissonnais. La vie était cruelle sur terre, tout autant qu’aux cieux… alors dans un sens, pourquoi vouloir créer plus de mal qu’il n’y en a déjà ? Je secouais la tête, arpentant sagement les couloirs en souriant légèrement, revoyant tous ces gamins courir, l’orphelinat est plus chaleureux qu’il n’y parait, un triste sort qui pourtant apporte un bonheur immense puisqu’il s’agit d’une véritable petite famille.

Deuxième étage, nous nous dirigions avec prudence vers ce dernier, ouvrant toutes les portes. Quelle était la chambre de Takeru ? Difficile à savoir, on aurait du le lui demander, mais il était peut-être un peu trop jeune et puis… peut-être qu’il ne valait mieux pas, au risque qu’il ne parle de ses « grands frères » et nous fasse découvrir. Bien que fatigué, je trouvais encore le courage de sourire en imaginant sa bouille, ses grands yeux pleins d’étoiles en voyant son nounours.
Après avoir fait la plupart des chambres, nous finîmes par ne plus y croire. Pourtant…, un couinement sous mon pied attira mon attention, est ce que c’était ça ? Le nounours dont il nous avait fait la description ? En levant les yeux autour de nous, je vis quelques jouets, de quoi nous donner un peu de travail et surtout, de l’espoir pour retrouver le cher disparu.

« Bon… je pense qu’on a des chances de mettre la main dessus. Regarde dans le coffre si y’a toujours des peluches? »

Pour ma part, j’ouvrais les armoires, sans grandes difficultés, jurant en ayant une nouvelle fois une porte entre les mains, me faisant reculer et tomber sur les fesses… ah que c’est comique ! Au moins, on ne risque pas de s’ennuyer. Je me mords la lèvre, jette un discret coup d’œil à Kanon, voire s’il est témoin de ma chute puis finalement me relève. En fouillant les tiroirs, j’entends la porte d’en bas se fracasser et sans dire un mot, Kanon et moi nous regardions, il suffisait d’un coup d’œil pour comprendre.

Ce n’était pas une aura maléfique, nous étions rassurés, mais il fallait rester sur nos gardes, après tout… on n’est jamais à l’abri de traitres. Nous ne bougions plus, attendant que l’inconnu vienne à nous. Pour ma part… j’étais pétrifié à l’idée de devoir engager le combat, s’il y a une chose que je ne regrette pas, c’est d’être redevenu un peu plus homme et de ne pas avoir laissé mon cœur pourrir.

Guardian angel † Walker

Une nuit ! Takeru, ce petit monstre au sourire charmeur nous avait empêchés de dormir, mon colocataire et moi, presque toute la nuit. On ne pouvait rien y faire. Il avait dormi dans les bras de Chul Hei ou les miens et il avait passé son temps à se réveiller pour quémander son doudou. Le fameux doudou que nous n’avions jamais vu et qu’il n’avait pas cessé de nous demander. Je croisais le regard épuisé de mon camarade. Hier, nous avions entendu que l’orphelinat était sous les eaux, à cause de la pluie qui tombait sans discontinuer depuis le début du mois. Le maire faisait appel à la générosité des citoyens et nous n’avions pas hésité une seule seconde. Je savais dès le début à quoi je m’exposais. Depuis l’arrivée de Chul Hei, et Miho, ma vie n’avait jamais été aussi intense et riche en rebondissement. Je n’osais même pas penser à l’état de mon logement à ce moment. Chul Hei était installé dans ma chambre, et je dormais dans le canapé lit (que j’avais enfin réparé) et une voisine m’avait gentiment prêté un petit lit pour Takeru. Certes mon appartement était spacieux, mais trois hommes pour une chambre et un salon, ça faisait juste. Heureusement que Takeru n’était pas plus grand. Bref, nous avions finis par promettre à notre petit protégé que nous allions lui ramener son petit doudou de l’orphelinat. A l’annonce de cette promesse, il s’était tout de suite endormi dans son lit et nous avions enfin pu fermer les yeux. C’était sans compter le lendemain matin, nous avions du nous lever tôt pour déposer le petit à l’école. C’était évident, cela n’allait pas pouvoir continuer comme ça. Je n’avais pas questionné Chul Hei, je savais que nous avions la même idée et nous n’avions pas trop le choix d’ailleurs. Une chance que nous ayons des « capacités spécifiques » parce que sinon nous n’aurions jamais pu atteindre le quartier où se trouvait l’orphelinat. C’était totalement inaccessible aux humains. Il y avait une telle quantité d’eau ! Je n’étais pas trop à l’aise dans cet endroit et je ne pus m’empêcher d’apprécier d’être accompagné.

Chul Hei et sa délicatesse légendaire ! Il ouvrait à peine la porte de l’orphelinat qu’il cassait déjà des trucs. Je réprimais un rire en le voyant avec la porte entière dans les mains. Il était gêné et je posais une main assuré sur son épaule.

- Ce n’est pas grave. Vu l’état du bâtiment, il va falloir faire attention. Je crois que c’est sur le point de s’écrouler.

Voilà, nous étions arrivés, maintenant la partie la plus difficile commençait. Nous devions chercher la chambre de Takeru et de sa sœur et trouver la peluche telle qui nous l’avait décrite. « C’es un Yoshi Vert ». J’avais regardé Chul Hei avec un sourcil relevé. Un yoshi vert ? C’était quoi ça ? hop un petit sms à Miho pour qu’elle éclaire ma lanterne. Maintenant je savais à quoi la peluche devait ressembler ! Bref nous fouillons chaque recoin des nombreuses pièces de l’établissement. Au deuxième étage, on finit enfin par trouver enfin notre bonheur : la chambre de Takeru ! Tandis que Chul Hei fouillait les tiroirs, je regardais dans le coffre à jouet et au moment où je mettais la main sur cette peluche tant désiré je me retournais, surpris, vers mon colocataire qui venait, une fois de plus, de casser un tiroir et il en était même tombé sur le postérieur. J’allais répliquer des bêtises pour me moquer gentiment mais j’entendais un bruit suspect.

Nous arrêtions simultanément tout mouvement, en écoutant attentivement. Les bruits de pas se rapprochèrent de la chambre. J’entendais qu’on disait « il y a quelqu’un ? » et j’essayais de percevoir l’aura de l’étranger. Visiblement ce n’était pas un ennemi. Mais je restais vraiment sur mes gardes. La porte de la chambre s’ouvrit doucement et je me mettais en position d’attaque.

- Qui êtes vous ?

Invité

J'ouvrais la porte lentement, je m'attendais à voir une ombre d'enfant suivi d'une voie qu'irait avec le corp mais à la place quand j'entra dans la chambre ses une voie d'homme qui m'accueillit suivi d'une ombre qui correspondait à sa voie. J'attendis que mes yeux s'habitue à l'obscurité puis je regarda qui m'avais demandé qui j'étais. à ce que j'arrivais à distinguer s'était un jeune garçon en position combat près à me sauté dessus. Je ne lui répondis pas tout de suite. Je cherchais s'il était seul, je scrutais donc toute la pièce jusqu'à que mon regard soit attiré par un mouvement au pied d'une armoire. Il y avait un garçon par terre avec un tiroir sur lui, cherchaient-ils quelque chose ? Je le regardais pendant quelque seconde puis je détournais mon regard de lui pour le remettre sur la personne qui était toujours près à m'attaqué.

-Qui êtes vous? Que fait vous ici ?!

Avec ce qui se passe maintenant il vaut mieux demandé leurs identités, ils étaient surement des anges car avec une aura comme eux, à part s'il était des démon très très gentille ce qui m'étonneraient beaucoup. ça ne pouvait être que ses deux propositions car avec toutes les inondations pour arriver jusqu'ici il fallait voler au-dessus de tout. Je restais devant la porte d'entrer les regardant chacun attendant qu'ils me répondent. Je croisas les bras sur mon torse « pourquoi me répondraient-ils, je n'ai pas répondus a leur question » je soupira.

-Je m'appelle Eru . . . Araki Eru et vous?

Je leurs posa cette question plus calme que la première fois. Mais j’étais toujours sur la défensive.

Angel † Taboo

Visiblement nous n’étions pas tombés sur un démon. L’ange qui était juste en face de mon colocataire croisa ses bras sur son torse et se présenta après nous avoir lui aussi demandé qui nous étions et ce que nous faisions ici. Automatiquement, je remis le tiroir en place avant de me lever et d’approcher de Kanon. L’ange était aussi méfiant que nous et c’était bien logique. Je fis signe à l’ange gardien qu’il n’y avait pas l’air d’avoir grand danger en lui révélant notre motif… si ce n’est que le ridicule ne tue pas, fort heureusement, nous pouvions le lui dire sans crainte.

« Chul Hei, enchanté. Nous sommes venus chercher… une peluche pour… un des orphelins »

Je me souvins alors que Kanon avait envoyé un sms à sa très chère copine pour savoir ce qu’était un yoshi vert, puis en voyant qu’il tenait une peluche de cette couleur, j’en conclue qu’elle lui avait donné une réponse, j’espérais qu’il n’y ait pas plusieurs objets qui répondaient à cette appellation, je n’avais aucune envie de revenir, mais… je le ferais si nécessaire. Imaginer la petite bouille de Takeru s’illuminer à la vue de cette peluche, c’était le plus beau cadeau que nous puissions reçevoir, après quelques bonnes nuits de sommeil bien sur.

« Et… toi, Araki Eru, qu’es-tu venu faire ici ? »

Une question comme une autre mais qui avait tout intérêt à être posée dans la situation dans laquelle nous nous trouvions. Je me doutais qu’un ange qui passait par la ne devait pas être à la recherche de peluche… ni même d’un autre humain. C’était ce que toute entité normalement constituée devait penser, mais je me doutais que celui la était différent, peut être un peu comme Kanon et moi puisqu’il n’avait pas l’air de s’attendre à tomber sur deux autres entités… bon, je voulais bien lui accorder que c’était plutôt étrange, mais, nous n’avions pas le choix.

« Tu… as trouvé des gens ? »

J’étais toujours inquiet de tomber sur un corps inerte, surtout celui d’un enfant et mon cœur se serrait en attendant la réponse, bien que j’essaye de ne rien afficher afin de ne pas montrer mon amour pour l’humanité, notamment ces petits êtres innocents. Nous étions légèrement moins agressifs dans nos dires, après tout, puisqu’il n’avait pas attaqué il n’allait pas le faire maintenant, surtout que le plancher pouvait à tout moment se rompre sous nos pas, ce serait… suicidaire. Je me demandais quel genre d’ange il pouvait bien être mais en même temps je ne voulais pas être déçu par la réponse. De toute façon, je n’allais pas poser ma question, ne préférant pas m’aventurer sur un débat qui pourrait nous trahir Kanon et moi.

« Je pense… que notre mission ici est terminée »

Mais je ne bougeais pas pour autant, désireux d’en savoir plus et surtout d’être certain qu’il ne tentera rien. J’étais vraiment curieux, qu’est-ce qu’il faisait ici ? Pourquoi l’orphelinat, qu’allait-il faire après notre rencontre ?

Guardian angel † Walker

J’étais assez rassuré. Ce n’était pas un démon ou autre personne mal attentionnée mais un ange. Cela excluait plusieurs possibilités mais sait on jamais, je ne le connaissais ni d’Eve ni d’Adam donc je restais sur mes gardes. Je jetais fréquemment des coups d’œil sur mon ami. Je croisais de temps en temps son regard et nous « communiquions », enfin nous nous comprenions. Mais c’est Chul Hei qui osa vraiment le premier pas. Nous étions tendus, sur la défensive mais entre nous deux, c’était le plus sociable. Pourtant après sa présentation, je faisais un effort pour me détendre. La peluche tournait entre mes doigts, et j’osais prendre la parole pour ne pas passer pour un sauvage. Nous étions des êtres civilisés tout de même.

- Je m’appelle Shimizu Kanon.

Visiblement, nous étions sur la même longueur d’onde avec mon colocataire puisqu’il posa la question qui me démangeait vraiment. Je le remerciais d’un hochement de tête discret. C’était moi qui maitrisais parfaitement le japonais mais c’était lui qui parlait, j’avais honte de ne pas me mettre plus en avant mais je n’étais pas très bavard. Surtout en présence d’inconnu. Donc je laissais la parole au coréen. Chul Hei était aussi inquiété de trouver des humains parmi les décombres de nombreuses constructions qui n’avaient pas survécus à la pluie. Moi aussi ça me faisait peur. Mais je n’avais senti qu’un calme plat en arrivant ici. Je ne sentais pas la mort dans ces lieux. Cela me rassurais et m’effrayais en même temps. Je n’arrivais pas encore à comprendre la raison de la pluie. Je doutais d’un phénomène naturel, on en avait discuté avec Chul Hei et nous pensions que la chose était provoquée. Les cieux sont capables de tout. Du meilleur comme du pire. J’acquiesçais aux paroles de mon colocataire. J’en profitais pour rajouter quelques mots.

- Tu es venu ici tout seul ?

C’était un mauvais défaut d’être curieux mais je trouvais ça louche qu’il ne soit pas accompagné. En parlant d’accompagnement, je n’avais pas vu ma protégée depuis quelque jour et elle me manquait terriblement. Je n’avais pas encore eu l’occasion de lui présenter notre deuxième petit protégé en culotte courte. Je ne savais pas ce qu’elle allait en penser. Si elle aimait les enfants et tout. Je ne lui avais jamais posé la question. En attendant les réponses de cet « Eru », je songeais à Miho. A tout ce que nous avions vécu jusqu’alors et à ce qui nous attendait encore. Je ne l’avais pas revu depuis cette soirée dans mon appartement. Ou plutôt devrais-je dire, cette nuit. Nous avions définitivement basculé dans ces choses que les humains appellent « l’amour ». Jusqu’à présent, nous n’avions cessé de ressentir des choses l’un pour l’autre sans nous confier. Je secouais la tête et revenais à la réalité. Je regardais Chul Hei et m’approchais de lui pour lui glisser quelques paroles.

- Qu’est ce que nous faisons ?

Angel † Taboo